Lydia « Se lever le matin sans lunettes, cela n’a pas de prix »
Depuis l’âge de 8 ans, Lydia supportait ses lunettes. Alors qu’elle devait les mettre juste pour aller à l’école, lire et regarder la télévision, elles finirent par prendre toute leur place dans sa vie. Jusqu’au jour où…
« Dès 12 ans, j’ai compris qu’il fallait que je les mette tout le temps, raconte Lydia, jeune fille posée de 26 ans. A l’époque, je portais de gros carreaux à la Harry Potter, continue-t-elle. On me répétait souvent « c’est pour ton bien », alors je m’y suis habituée », conclue-t-elle. La fillette finit par s’y faire, par l’accepter, sans jamais croire en la fatalité. Au collège, elle essuie quelques moqueries, mais le plus important était qu’elle ait de bonnes corrections visuelles. Mais alors, elle était obligée de se faire dispenser de piscine à chaque fois dès sa classe de seconde. Toutes les excuses étaient envisageables et la collection de dispenses pour le professeur pleuvait.
Corvée supplémentaire
Finalement, elle passa aux lentilles. Souples, jetables, l’aubaine… sauf qu’elles lui revenaient une petite fortune : 300 €/an avec deux packs à renouveler tous les 6 mois. Et les contraintes commençaient à se faire sentir : une boite de produits qu’il ne fallait pas oublier où qu’elle aille ; impossible de dormir avec (sinon, au réveil, « j’étais encore en discothèque, avec du brouillard dans les yeux et des difficultés pour les ouvrir », raconte-t-elle) ; sécheresse oculaire avec obligation de se mettre un collyre… Finalement, la meilleure chose à faire était de revenir aux lunettes !
Vers une autre vision
Plus tard, son métier de comptable l’oblige à se mettre tous les jours devant son ordinateur. Mais celui-ci lui laisse les yeux secs alors elle préfère encore mettre ses lunettes : retour en arrière ! Elle ne peut définitivement plus mettre de lentilles ! Cependant, sur les skis et en vélo, s’il pleut, c’est une vraie galère avec la buée qui s’accumule sur les verres… Il lui faut changer dès maintenant sa vision des choses.
Grâce à sa boulangère
Elle apprit un jour dans son petit village que sa boulangère s’était faite opérer chez Vision Future. A son tour, elle prend son courage à deux mains, et, 10 jours après, elle passe le cap. « J’étais crispée mais le personnel médical m’a rassurée. Après l’opération, tout s’est éclairé : tout a bien cicatrisé ». Lydia reconnaît alors dans le même temps : « se réveiller le matin sans lunettes et faire du sport, un vrai bonheur » !
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